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Full text: 19, 1896

E. Engelenburg, C. I.: Aerodynamische Theorie der Gewitter. 
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Archiv 4- 
herauszugeben. Doch erst vom September 1863 an erschienen darin die ersten Isobarenkarten. Ungefähr 
zur selben Zeit (1858) sind die ersten Spuren eines speziell den Gewitter-Untersuchungen gewidmeten Dienstes 
nachweisbar: In Holland sammelte Kr ecke sehr eifrig Gewitter-Beobachtungen, auch England betheiligte 
sich; in Frankreich stellte Ritter, Ingenieur en chef des Ponts et des Chaussées, als Resultat mit Hilfe 
zahlreicher Personen ausgeführter Gewitter-Beobachtungen in der Côte d’Or den Satz auf: Gewitter sind nur 
lokale Erscheinungen. Erst viel später entstanden die offiziellen Gewitterdienste. Frankreich unter Leverrier 
ging 1865 voran, Norwegen folgte 1867, Schweden und Russland 1871, Belgien und Italien 1876, Bayern 
1879, die Niederlande 1880, Sachsen 1881, Württemberg 1882, Prctissen 1886, England 1887. 
Kurz nachdem Ritter die Gewitter für lokale Erscheinungen erklärt hatte, kam Marié-Davy, der 
mit der Verarbeitung der täglichen Wetterberichte am Pariser Observatorium beauftragt war, zu einer ent 
gegengesetzten Ueberzeugung. Die synoptischen Wetterkarten des „Bulletin International" lehrten ihm deut 
lich, dass das Auftreten von Gewittern immer zusammenfiel mit der Anwesenheit solcher spiralförmig kon- 
vergirender Windsysteme, welche er durch den Namen Bourrasques andeutete (heutzutage besser bekannt 
als Depression oder Minimum barométrique). Indem er die Orte, wo das Gewitter gleichzeitig wüthete, 
durch Linien (isochronen) vereinigte, zeigte er deutlich, dass das Gewitter im ganzen mit der „Bourrasque“ 
fortsehreitet. Im Jahre 1864 veröffentlichte er den Satz: Gewitter sind Folgen der „Bourrasques“, also keine 
lokalen Erscheinungen. 
Durch weitergeiührte Studien an der Hand der täglichen Wetterkarten des „Bulletin International“ wurde 
dieses Gesetz durch Fron weiter ausgebildet. Fron 62 ) sagt: „Les orages sont liés aux bourrasques et ils 
se produisent seulement dans la partie dangereuse de la bourrasque." Mit der „partie dangereuse“ ist die 
rechte Hälfte des Luftdruck-Minimums gemeint. Und weiter S. 140: „La marche des orages en France est 
liée aux grands mouvements de l'atmosphère à la surface de l’Europe. Les bourrasques nous amènent ces 
météores, qui, dès qu'ils ont éclaté, suivent ensuite, dans leur propagation une marche dont les lois peuvent 
être déterminées. Les orages suivent en effet alors la direction qu'aurait le vent autour du disque tournant.“ 
Fron unterscheidet (S. 141) zwei Arten von Gewittern: orages d’hiver und orages d’été. „II est rare qu’un 
orage soit entièrement isolé. Presque toujours il y a lieu au milieu d’une période que l’on peut nommer 
période orageuse. Pendant l’hiver, cette période est caractérisée de la manière suivante : les bourrasques se 
succèdent les unes aux autres à deux ou trois jours d’intervalle; elles sont en général très intenses et il 
est rare que des phénomènes orageux ne soient pas signalés dans la région dangereuse. Pendant l’été les 
orages sont dus à des bourrasques d’une moindre intensité, mais qui se succèdent plus raprochées et plus 
nombreuses autour de la zone à forte pression. Les orages sont à cette époque plus fréquents, mais les 
bourrasques sont moins accentuées.“ 
„Dans la région dangereuse la zone où se meuvent les nuées orageuses est généralement intermédiaire 
entre le centre de dépression et le pourtour de la bourrasque.“ 
Fron erklärt dies noch weiter durch beigehende Skizze, in welcher der schraf- 
firte Theil „la partie orageuse de la région dangereuse“ vorstellt. Weiter sagt er: 
ß ..Deux orages successifs sont accompagnés chacun d’un minimum barométrique, ils 
correspondent à deux bourrasques qui se succèdent l’une à l’autre. Us peuvent aussi 
se ratacher à la même bourrasque, alors le baromètre descend d’une manière continue 
pendant le premier orage. 11 monte au contraire d’une manière continue pendant le 
second. On peut appeler le premier orage antérieur, le second postérieur.“ 
„Enfin il peut arriver que pendant la descente du baromètre plusieurs orages se 
succèdent; ils appartiennent alors tous au groupe des orages antérieurs. Si pendant 
la hausse plusieurs orages se succèdent, ils appartiennent tous au groupe des orages postérieurs.“ 
Mit Vorbedacht ist hier Fron ein wmnig ausführlich zitirt, weil in seinen Anssprüchen der Anfang 
eines Widerspruchs vorhanden ist, nämlich hierin, dass alle Gewitter in einer gewissen Zone der „partie 
dangereuse“, also in der rechten Hälfte des Luftdruck-Minimums Vorkommen, und später hebt er noch hervor 
„orages postérieurs et antérieurs“, also in der Rück- und Vorderseite. So lange keine Gewitter in der 
Vorderhälfte bei a oder hinten bei h angezeigt werden, sind beide Schlüsse übereinstimmend. 
Fron selbst scheint dies wohl bemerkt zu haben, denn in seiner Abhandlung 63 ) sagt er: „Cette surface 
dans laquelle se meuvent les nuées orageuses, peut-être assimilée comme première approximation, à un tore 
animé d’un mouvement de rotation autour de son axe, situé à une certaine distance du sol, ayant une région
	        
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